(M/RÉSERVÉ) ANDREW GARFIELD ✲ something sad just once

**ARRIVÉ(E) LE :** 06/01/2012

“SOREN EUGENE BENNETT”

Still i remember , love we had in winter.

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ft. prince rapunzel ◊ desperate souls ◊ ft. andrew garfield
✲ NOM : bennett. ✲ PRÉNOM : soren. ✲ ÂGE : vingt-sept ans. ✲ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : boston, date au choix. ✲ EMPLOI/ÉTUDES : avocat. ✲ SITUATION AMOUREUSE : fiancé. ✲ TRAITS DE CARACTÈRE : extraverti, têtu, déterminé, lunatique, charismatique, jaloux.

WELL, AREN'T YOU - A REAL PRINCE CHARMING ?
Soren est né dans une famille très respectable de Boston, connue pour son argent et ayant une très bonne réputation, le paternel Bennett dirige une grande entreprise en ville ✖ Depuis qu'il est gosse il est habitué au soirée mondaine et compagnie, il a de bonnes manières car il a reçu une très bonne éducation, un mode de vie qui lui convenait jusqu'à récemment aujourd'hui, il voudrait plus de liberté mais il a peur se décevoir sa famille ✖ Il est fils unique et son père est à la tête d'une entreprise qu'il voudrait que son fils reprenne un jour, c'est une ambition que lui ne partage pas même s'il préfère ne pas s'opposer à son père ✖ Il voit bien que sa mère n'est pas heureuse dans son mariage, du coup, il n'a jamais cru en l'amour ✖ Il s'est toujours promit de ne pas finir comme son père pourtant, plus les années passent plus il se rend compte qu'il lui ressemble de plus en plus, l'ambition naissant finalement petit à petit en lui ✖ Il est sorti deux ans avec Cleo-Lynn, mais son père avait tendance à la voir comme une stripteaseuse, voir même une prostituée, leur relation fonctionnait plutôt bien, mais elle a été rompue par le père de Soren aidé de la belle mère de Cleo ✖ Récemment, il s'est retrouvé coincé dans des fiançailles arrangées, une volonté de son père d'unir deux grandes fortunes de la ville, il n'a malheureusement pas pu refuser, comme toujours dès que son père lui demande quelque chose ✖ Il n'oublie pas Cleo, au contraire, elle est toujours dans un coin de sa mémoire, pourtant, ça va faire un an qu'il ne l'a pas vue, il s'est souvent rendu au cabaret où elle travaillait pour la voir, mais leurs routes ne se sont jamais recroisées, il continue encore d'y aller et devrait finir par la revoir, en effet, la jeune femme avait quitté le cabaret le temps de sa grossesse, elle était enceinte de lui, il ne l'a jamais su, elle a mis au monde il y a environ trois mois, des jumeaux, une fille et un garçon, il l'ignore toujours.

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CLEO-LYNN D. WEISSMANN & SOREN E. BENNETT

Once in the forest you told me that you loved me.

Il la fixait, dans ce cabaret où il n’avait pas sa place. Qu’est-ce qu’il était venu faire dans cet endroit où des filles se dandinent avec élégance quasiment nues ? Ha oui, c’est vrai, l’enterrement de vie de jeune homme de son meilleur ami, c’était beaucoup plus soft que les bar avec plein d’alcool et quelques stripteaseuse, c’était beaucoup plus classe, ça leur allait bien mieux à eux, enfants d’un monde où il fallait que tout soit respectable. Il ne pouvait s’empêcher de la fixer, la jolie chanteuse blanche, envouté par sa voix autant que par son physique, il avait rapidement oublié le monde autour de lui et tout lui était permis à lui qui avait grandi dans la haute société, il le savait, on avait cessé de lui répéter que sa classe sociale lui permettrait de toujours avoir ce qu’il voulait, il avait cette certitude alors qu’il la suivait des yeux sans jamais cligner. La soirée terminée, il ne résista pas, il fallait qu’il l’attende à la sortie de la salle. Il fini par la voir sortir, bien plus vêtue, une cigarette à la main, il ne savait pas vraiment pas quoi lui dire, mais il fallait qu’il lui parle. Il lui adressa un sourire, auquel elle répondit par un haussement de sourcils, évidemment, elle ne comprenait pas ce qu’il lui voulait. « Salut ! » Cette fois elle lui sourit, il était sûr qu’elle le prenait pour un idiot fini. « Salut. » De toute évidence, elle n’avait rien de mieux à ajouter, il s’en doutait, c’était nul pour commencer une conversation. « Je m’appelle Soren. Et vous ? » Son sourire ne quittait pas ses lèvres, il avait l’impression de n’avoir jamais vu un si beau sourire sur les lèvres d’une femme, il avait presque l’impression que c’était magique. « Cleo-Lynn. Vous êtes qui exactement ? » Il y avait entre eux deux une certaine distance, c’était bizarre, mais c’était doux et agréable, il se trouvait tellement idiot. « Personne en particulier. Je vous ai vue ce soir, vous êtes vraiment parfaite… » Il se rendit vite compte que sa phrase était stupide, décidément, il était nase parfois. « Je veux dire … Sur scène … » Il appuya sa phrase par un pincement de lèvres gêné. Elle lui sourit avant d’écraser sa cigarette et de s’avancer vers lui. « Merci, c’est gentil. N’hésitez pas à revenir me voir … » Elle eu l’air un peu gêné elle aussi, une expression enfantine sur son visage, une pointe d’innocence et tellement de charme. « Je veux dire … Sur scène, bien sûr … » Elle rigola légèrement, un rire cristallin, si agréable à entendre, autant que sa voix mélodieuse. C’était idiot comme sensation, il ne savait même pas décrire ce qu’il ressentait. « Oui, je reviendrais alors … » Il n’avait jamais douté de ça, depuis cet instant où il l’avait vue sur scène, il avait su qu’il reviendrait la voir, soir après soir, juste pour contempler ce spectacle qu’à ses yeux, elle représentait à elle seule. « Très bien. On se voit plus tard alors. Bonne soirée. » Elle leva la main pour qu’il la lui serre et il s’exécuta, tout en la fixant dans ses yeux, il avait l’impression d’être complètement ensorcelé par tant de charme, comme si quelque chose d’inexplicable les unissait. « D’accord. Merci vous aussi … » Elle sourit encore avant de s’éloigner, au loin, alors qu’elle atteignait presque sa voiture, elle lui adressa un signe de la main, un dernier salut pour cette soirée, mais le premier d’une longue liste.

« Bonjour, monsieur Bennett je présume ? » Il regarda la femme qui venait de s’adresser à lui, les sourcils froncés, il ne savait pas qui elle était ni même ce qu’elle faisait là. « Oui. Vous êtes ? » Un rire ironique s’échappa de ses lèvres, comme si elle trouvait idiot qu’il ne sache pas qui elle était. « Je suis la mère de Cleo, jeune insolant ! » Il haussa les sourcils, surpris de la nouvelle, de toute évidence, elles n’avaient rien en commun. Il croisa les bras sur sa poitrine et la regarda l’air presque amusé. « Et bien, ça ne se voit pas. » Elle serra la mâchoire, s’efforçant de ne pas relever cette remarque désagréable. « Je ne vais pas y aller par quatre chemins, de toute façon, vous ne valez pas la peine que je gaspille ma salive. Cet appartement est à vendre, Cleo a déménagé, mais vous ne chercherez pas à la retrouver. Oubliez là. » Elle était folle cette femme. Cleo était sa petite amie, il l’aimait, il était tombé amoureux d’elle depuis qu’il l’avait vu dans ce cabaret quelques années plus tôt. « C’est hors de question. » Il soutenu le regard de la mère de la jeune femme, elle haussa un sourcil, cet air faussement amusé sur le visage. « Je ne vous laisse pas le choix. Sachez que si je vous revois avec elle, vous perdrez bien plus que ce que vous pouvez être emmené à imaginer. Est-ce que c’est clair ? » Il ne baissa pas les yeux, absolument pas intimider par les folles paroles de cette femme. Elle avait un sérieux problème celle là. « Je n’ai pas peur de vos menaces en l’air … » Elle leva les yeux au ciel, las de l’entendre lui répondre toutes ses stupidité. « C’est fini. Point final. Vous ne la reverrait plus. » Elle semblait sûre d’elle. C’était absurde, il faisait ce qu’il voulait et ce n’était pas elle qui l’empêcherait de voir celle qu’il aimait. Il en était sûr en cet instant, pourtant, très vite les choses changèrent.

« Cleo ! » Elle arrêta sa route dans un soupire. Elle n’avait pas envie de lui parler. Elle le détestait en cet instant. Elle se retourna pour lui faire face. « Quoi ? » Elle lui lança un regard noir. Il n’avait jamais vu ce genre de regard sur son visage et pourtant, il lui semblait toujours aussi parfait. « Pourquoi tu m’évites comme ça ? » Comme toute réponse, elle se contenta d’un rire ironique. Il pouvait voir sur son visage toute la rancune qu’elle avait en elle. « Ne fais pas l’idiot. Tout le monde sait que le fils Bennett va épouser la fille McKinston. Ne me prend pas pour une idiote. Ma belle-mère m’avait prévenue, j’aurais mieux faut de l’écouter ! » Sa belle-mère, celle qui s'était présenté à lui comme étant sa mère avant de lui dire de ne plus chercher à voir Cleo, ça ne l’étonnait même pas qu’elle arrive dans la discussion après ce qu’elle lui avait dit la fois où il l’avait rencontrée, bizarrement, c’était arrivé juste avant l’annonce de ses fiançailles, ça ne lui semblait pas être un hasard. « Ta belle-mère, c’est justement elle le problème ! Je suis sûr que c’est elle qui a tout manigancé ! » Elle le regarda outrée. Elle avait l’impression qu’il se fichait littéralement de sa gueule. « Laisse ma belle-mère en dehors de tout ça ! C’est toi le responsable ! C’est toi qui a accepté d’épouser une nana que tu ne connais pas ! Laisse moi maintenant. Va l’épouser elle. Brise toutes les promesses que tu m’as faites, les hommes ne sont bons qu’à ça de toute façon ! » Elle le fixait avec colère maintenant, encore quelque chose qu’il n’avait jamais vu chez elle, et les larmes qui naissait au creux de ses yeux semblaient vouloir l’anéantir. « Cleo c’est toi que j’aime ! » Cette fois, il ne s’attendait pas à ce qui arriva. La main de la jeune fille vint claquer son visage avec fureur. Il la regarda quelque peu surpris alors qu’elle remit correctement son sac sur son épaule avant de continuer son chemin. Il la regarda s’éloigner dans la foule. Il l’aimait c’était un fait, mais il ne pouvait plus aller à l’encontre de sa décision, ni de celle de sa famille et même pas contre celle de sa mère, même s’il savait qu’elle était la cause de tout ça. Elle avait voulu les séparer, elle avait réussit. Ils allaient devoir tracer leur route, chacun de leur côté, s’oublier et continuer à vivre, alors qu’ils sont clairement fait l’un pour l’autre.

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**ARRIVÉ(E) LE :** 06/01/2012

Citation :: scénario terminé & réservé
Salut à toi, petit gens qui lit ce scénario. Déjà sache que je te remercie rien que parce que tu as eu la patience de le lire et sans doute parce qu'il t’intéresse, sinon, tu ne lirais pas ça.
Bref, j'ai quelques conditions pour ce scénario alors les voilà :
~ premièrement, les prénoms et le nom sont complètement négociables, je voudrais juste un nom à consonance américaine, qui soit prononçable aussi (a)
~ deuxièmement, Andrew n'est pas négociable, parce que c'est le stonefield quoi (a)
~ troisièmement, j'aimerai quelqu'un d'actif c'est à dire déjà quelqu'un qui finisse sa fiche, c'est le minimum syndical mais qui en plus réponde régulièrement aux rps. Je ne dis pas que je veux quelqu'un qui soit la 7j/7, 24h/24 mais bon, quelqu'un qui vienne rp une a deux fois par semaine, ce serait déjà pas mal (a)
~ dernièrement, j'aime les rps assez complets, pas 15 pages de description, mais un rp d'une page works, je trouve ça très bien, j'aime vraiment qu'on décrive le ressenti du personnage, ses pensées ainsi que le décor alors voilà, si vous êtes du genre à baratiner tout ça dans vos rps, vous êtes parfait (a) j'aime le baratin *baff*

Voilà, merci d'avoir lu tout ça et il va de soit que j'aime déjà la personne qui prendra ce scénario et que j'envisage de lui vouer un culte sans limite pour le restant de mes jours
Pour finir, j'ajouterai que si vous avez la moindre question, ma boite à mp est à votre entière disponibilité

» (M/RÉSERVÉ) JULIAN MORRIS ✲ and just like that, you're here

(M/RÉSERVÉ) ANDREW GARFIELD ✲ something sad just once

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